Ciel courait comme un dératé lorsque tout devint noir. Etrange, que s’était-il passé ? Quand il sortit de son « sommeil », il n’était plus dans l’étendue d’herbe précédent le château et le noir de la nuit, mais dans une pièce parfaitement éclairée, remplie d’étranges objets. Ciel se tenait toujours la tête et une expression terrifié s’était figée sur son visage. Il releva les yeux et observa la conversation des deux femmes qui se trouvaient avec lui. Aurora, qu’il avait rencontré plutôt brisa le silence, pesant, la première :
"Bonjour madmae la directrice je suis désoler de vous dérangée si tôt et de perturbé votre nuit mais j'ai trouvé au abord de la forêt interdite cette jeune personne. Il ne semble pas être comme nous mais étant donné qu'il ne semble pas se rapellé de grand chose à part des chose particulièrement horrible il est peut être tous de même des notres mais il semble bien fragile et en état de choc. J'ignorais quoi faire de lui alors j'ai espéré que vous le saurriez."Finalement peut-être que les véritables intentions de la jeune Aurora étaient de lui faire du mal ? Le chat, l’animal à quatre pattes de la jeune femme, s’était couché sur ses genoux sans dire mot. Ciel fit de même, pour ce qui était de garder le silence. Il se contentait de fixer la personne qu’Aurora appelait madame. Une femme bien étrange que le jeune garçon trouvait froide et imperturbable. Elle avait écouté attentivement, semblait-il, le discours de son interlocutrice. Soudain, elle dirigea sa main vers un tiroir de son bureau, et y retira un bout de bois parfaitement droit. Que pouvait bien être cette chose ? Ciel était très intrigué mais restait méfiant, car peut-être allait-elle le tuer ? Peut-être qu’il se passerait la même chose que dans son souvenir. La femme au regard glacial, tendit l’objet au jeune garçon puis ajouta :
"Prends ça et agite là veux tu"Ciel porta sa main contre son visage comme pour se protéger, puis, envoyant qu’elle ne faisait que lui tendre, il la saisit de cette main, tremblante. Quelques gouttes de sang avaient séchées et avait alors pris une couleur plus foncé. Mais il y avait autre chose de troublant, son bras étaient à partir du poignet, jonché de piqûres. Ciel prit dans sa main hésitante le bout de bois puis fit un mouvement vers le plafond de la pièce. Un pot d’encre disposé sur le bureau décolla et s’écrasa avant de retomber en milles morceaux. Le garçon, la bouche grande ouverte et stupéfié par se qu’il venait de faire s’excusa :
-Pardon ! Je suis désolé ! Je ne l’ai pas fais exprès !