Nekatril s'ennuyait mais, bien trop timide, necherchait pas la compagnie du commun des mortels. Elle passait alors son temps libre à lire, faire du quiddich, ou jouer avec sa souris. Aujourd'hui elle n'avait pas envie de tout cela... Comment tarir son désespoir? Elle décida de s'aérer dans le parc de l'école. Une fois sortie, et après avoir minutieusement vérifié que personne ne l'observait, elle se jeta dans l'herbe, euphorique, et commença à s'y rouler. Les débordements d'émotions étaient fréquents chez elle. Une fois arrivée en bas de la pente elle courut sous les arbres joyeusement et s'assit sur une pierre, là, elle observa le vent faire son ouvrage de balayeur avec mélancolie.
*Pourquoi tous ces sentiments, toutes ces pensées déraisonnées?, se demanda-t'elle, Je suis un être humain, les êtres humains n'ont pas à...*Elle s'interrompit dans ses pensées, à présent, une larme glissait sur sa joue. Nekatril était furieuse contre elle même de ce chagrin sans causes apparentes.
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Peut-être est-ce que je suis trop timide... La compagnie de la société est peut-être profitable contre ces débordements d'émotions.Elle s'interrompit de nouveau, entendant le bruit de pas sur les feuilles mortes. Quelqu'un avançait derrière elle, qui ne s'était pas rendue compte qu'elle avait pensé tout haut.