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 Rendez vous avec les diable...

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Sacha Miloshkovik
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Sacha Miloshkovik

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Rendez vous avec les diable... Vide
MessageSujet: Rendez vous avec les diable...   Rendez vous avec les diable... EmptyJeu 10 Déc - 3:12

La nuit était noir ce soir là, mais la lune pleine. Dans le ciel, pas un nuage, mais pourtant, pas une étoile. Quel ciel particulier. Seul la lune brillait de tous son éclat. Sacha était allongeait sur son lit, écoutant un bon vieux vinyle des Pink Floyd. Sur la commode, ses trophées de skate reflétaient la seul lueur de la lune. Le calme régner ici. Une nuit banal, pour un garçon banal. Du moins, pour ce qu’il était a l’époque. Le Darkside of the moon résonnait dans toute la pièce. L’unique pièce de la cabane de Dursilla. La ou il habitait depuis son arrivée ici. Parfois, il ce surprenait encore a ce demander pourquoi il restait. Il n’avait rien a faire ici. Il était banal. Un simple mec dépourvus de pouvoir, issus de parents moldus, moldu lui-même par ailleurs. Pourquoi il restait là? Mais aussi, pourquoi était il sortit ce soir la?

Il c’était levé, un peu en colère, ennuyé a vrai dire. Rien ne le retenait ici. Cassandre? Dursilla? Tu parle. Ils venaient a peine la voir. Cassandre roucouler avec Savannah et Dursilla elle, il n’avait même plus envie de la voir, elle le répugnait. Depuis le départ de Lex elle n’était plus la même, et il ne voyait même plus le soupçon d’amour qu’elle avait pour lui. Zachary et Charly, ses amis de Londres, eux contaient. Et il contait pour eux il le savait. Il voulait retourner a Londres, avec eux, s’amuser, reprendre les compétitions de skate, s’amuser comme avant, et oublier cette vie ou seul la haine et la cruauté avait sa place. Debout sur le perron il s’alluma une cigarette, regardant ce ciel si particulier. La forêt était bien calme, trop calme pur un soir de pleine lune. Il connaissait le danger, mais pourtant, il mit le premier pied dehors, laissant la porte grande ouverte, ainsi que toute ses affaire.

Il marcha comme ça, les mains dans les poche de son buggys sans grand but précis. Comment rejoindre Londres d’ici sans pouvoir et sans quelqu’un pour l’aider? Bonne question. Il n’en savait rien. Mais peut lui importait, il avait besoin de marcher. Ce vider l’esprit. Il se sentait seul. Vraiment seul et un peu délaisser par ses amis. Du moins, ce qu’il croyait être ses amis. Il avait mal. Sans même trop savoir pourquoi. Peut âtre par ce que c’était l’anniversaire de la mort de Senad. Le manque de son frère lui causait toujours une petite peine dans son cœur et un petit vide en lui. Il s’en était jamais vraiment remis. La lune était pleine, et il connaissait le danger. La forêt regorgeait de loups, de vampires, de toute choses dangereuse. Et ce soir, il n’était pas armé, et ne pouvait pas ce défendre. Il ne se savait pas suicidaire, mais la presque. Une branche craqua derrière lui, et il n’eu le temps de voir les deux gros yeux jaune qui lui déchirait déjà la carotide.

Un hurlement retentit dans la cabane de Dursilla. Il posa sa main sur sa gorge, la ou ce trouvait sa cicatrice. Cela faisait des mois qu’il n’était pas rentrer ici. Des mois qu’il errait, seul, dans les bois, a la recherche de réconfort. Passant d’un coin a l’autre. Il avait vus Londres, et plusieurs coins regorgeant d’être comme lui. Léandre lui avait tous appris. La chasse, comment ce nourrir, comment vivre avec se poison qui coulait désormais dans ses veines. Il lui avait tous apprit. A ce défendre, a devenir une bête sauvage sans cœur, sans sentiments, puissante et plus forte que quiconque. Le plus triste dans tous ça, personne n’avait remarqué sa longue absence. Personne. Il en était d’ailleurs dégouté, écœuré. Mais peut lui importait. Il avait tellement changé qu’il préféré cela. Etre ignorait de tous le monde même de ses amis les plus chère. Cassandre et Dursilla entre autre. Ca sa faisait mal. Très mal même. Mais maintenant peu lui importait. Léandre lui avait forgé son caractère, l’avait rendus encore bien plus fort bien plus puissant. Et même si il détestait la bête qui dormait en lui, il ne pouvait le nier. Pour une fois, il se sentait supérieur, avec un brin de puissance, et surtout capable de faire tomber certaine tête de sorcier qui le répugnait de plus en plus.

En un mot Sacha venait de se réveiller d’un véritable cauchemar. Il n’étais plus lui-même, mais l’ombre d’un monstre, qu’il devenait lors des soirs de pleine lune, mais un monstre a chaque seconde quand même. Il tuait, haïssait, le monde. Tous ces gens si mesquins qui ce croient supérieurs sous prétexte qu’ils sont des pouvoirs magique mais quelle connerie. Il les détestait tous autant qu’ils étaient. Il ne lui restait plus qu’un jour avant que la pleine lune fit son apparition. Un jour avant sa transformation. Il avait envie de tuer, de sang, de détruire. Seul dans sa cabane, il se surprit a avoir envie de viande fraiche. Humaine. Sans même réfléchir, il sortie. Il marcha, sans même savoir ou aller, dans cet endroit qu’il connaissait sur le bout des doigts lorsqu’ile entendit une branche craquer. Quelqu’un était prêt a l’attaquer. Il se retourna et attrapa brusquement la gorge de…
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Filomena Graigton
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Filomena Graigton

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MessageSujet: Re: Rendez vous avec les diable...   Rendez vous avec les diable... EmptyVen 11 Déc - 21:19

[ Je m'incruste Razz ]

    Tout était calme… Filomena, un grand T-shirt blanc sur le dos, qui lui arrivait à mi-cuisse environ, dormait dans son lit, ou du moins, elle s’y essayait. Toutes ses colocataires de dortoir avaient déjà plongées depuis longtemps dans l’univers du sommeil. Et si deux d'entre elles se tenaient plus ou moins tranquilles derrière les lourds rideaux des lits, ce n'était pas vraiment le cas des deux autres... L'une faisait un concours de ronflements avec une chaudière, tandis que l'autre se trémoussait sans vergogne sous les replis de la couvertutre... Les yeux fixé sur le plafond, immobile, Filo tentait en vain de trouver le sommeil, qui se refusait désespérement à elle depuis bientôt une heure. Enfin... C'était ce qu'il lui semblait puisque son réveil matin éclairant la pièce d'une affreuse lumière rouge vive, elle n'osait pas l'utiliser pour vérifier ses pensées. Poussant un petit soupir frustré, la jeune fille ferma les paupière, se concentrant sur sa respiration... Et au bout d'une vingtaine de minute,s l'esprit de la miss franchit enfin la barrière des rêves...

    Malheureusement, le changement de lieu de vie, les nouveaux visages, tous ces changements... Oui, tout cela influe énormément sur le caractère de notre jeune Graigton... Et voici une légère ride qui apparait sur son front, ainsi qu'un tressautement à peine visible au niveau des paupières. On aurait pensé qu'elles se serraient rouvertes d'un coup, dévoilant un regardénervé d'adolescent qui n'arrive pas à s'endormir... Mais non. Car il faut aussi savoir que Filomena est sujette à des crises de somnanbulisme.

    Filo' n’était plus vraiment elle même... C'était compliqué. Consciente de ses gestes, elle ne pouvait toutefois pas les diriger. Quand elle était plus petite, elle s'était inventée une entité supérieure, John, qui dirigeait ses mouvements pendant ses crises... Mais si elle n'y croyait plus vraiment, John était resté dans sa mémoire... Et cette nuit, John avait reprit le contrôle, et Filo' était passée en mode veille. La jeune fille leva lentement la main, presque timidement, s’empara de la couverture et l’éloigna, sans bruits, s’en dégageant doucement. Mettant pied au plancher, Filomena se leva doucement, puis fit quelques pas hésitants… Un sourire sans véritable signification se dessina sur son visage impassible, puis elle se dirigea sans bruit vers la porte du dortoir qu’elle ouvrit avant de se glisser dans l'escalier... Mais son parcourt ne faisait que commencer. Telle une aveugle,Filo' devina qu'elle passait dans la salle commune des verts et argents, sortait par le trou du tableau, remotait l'escalier trapu qui menait aux cachots, et sortait du château. Si quelqu'un l'avait vue, ils n'avaient pas osé la réveiller...

    Un pas après l’autre, la jeune fille se dirigea vers le lac. La nuit noire l’emporta, tandis que la pluie martelait chaque partie de son corps, y laissant de longues traînées liquides. Ses cheveux se mirent à dégouliner d’eau et certaines mèches, sur le devant notamment, se collaient sur son front, tandis que d’autres laissaient s’échapper des gouttes à leurs bouts, à un rythme lancinant et régulier. Son T-shirt humide se mit à lui coller à la peau au bout de quelques mètres. Le blanc s’opacifia légèrement, contrairement à d’autres qui seraient devenus translucides. Une pensée de soulagement traversa l'esprit de notre demoiselle qui, bien que n'ayant pas beaucoup de formes féminines, ne souhaitait pas forcément se retrouver dans cette tenue là.

    L’herbe humide défilait sous ses pas, bien que la jeune fille ne sente pas son contact sous ses pieds. Finalement, après une durée indéterminée,, elle arriva jusqu’au lac. Un soir noir, juste éclairé par la Pleine Lune. Puis, John lui fit faire un pas en avant, puis d’autres. L’eau entra en contact avec ses chevilles, puis avec ses mollets. Le contact froid fit frissonner Filomena, qui se réveilla brusquement. Son corps redevant brutalement sous son contrôle, elle dérapa sur la boue, perdit l'équilibre et se retrouva les fesses dans l'eau boueuse du lac. Un frisson de dégout la parcourut, juste avant qu'un éternuement ne la secoua. Fiente d'Hibou et Bouse de Dragon! Dans quel pétrin s'était-elle encore fourée? Avec un air répugné, elle ressortit de la vase ses mains dégoulinante, et ne pu retenir une grimace. Beurk. Avec un effort, elle s'extirpa tant bien que mal de la bouillasse acqueuse. Dans quel état se trouvait-elle... Heureusement que ses parents n'étaient pas là pour la voir... Les cheveux dégoulinants d'eau, son T-shirt de nuit trempé, ses jambe recouvertes d'une couche de boue qui s'affaissait légèrement vers le bas sous l'effet de la gravité. Mais ce qui était sûr, c'était que si elle rentrait dans cet état au château, elle allait se faire littéralement tuer par le concierge...

    Ne sachant trop que faire, elle se dirigea vers la foret toute proche... Oui, après tout, pourquoi pas? La boue sous la plante de ses pieds s'effaca rapidement sur l'herbe humide, bien que le reste demeura inchangé. Elle franchit la lisière, et s'aventura un peu plus profondément dans les entrailles de la foret. Quand donc allait-elle tomber sur une vielle branche morte pour pouvoir enlever la majeure partie de cette bouillase??! Ah! Elle eut de la peine à retenir à cri de joie! Accoudée à un arbre qui ressemblait à un chêne, une vieille branche, tout ce qui lui fallait. Elle trottina vers cette dernière, prenant garde à ne pas glisser et tendit la main pour s'en emparer... Trop grande... La moitié lui suffira amplement. Pesant de tout son poids sur le morceau de bois, elle le fit aisément cedé. Le geste à ne pas faire... Mais la miss ne s'en doutait pas. Comment l'aurait-elle pu?

    Ce fut tout d'un coup une douleur fulgurante. Une étreinte de fer au niveau de son cou. Tremblante d'incompréhension, sa main libéra le morceau de bois qui lui restait entre les doigts. Et lorsque dans un bruit mat, il toucha le sol, la réalité vint percuter l'esprit de Filomena. Ses yeux s'écarquillèrent d'horreur, tandis qu'un long cri d'effroi retenti dans le silence de la foret...

    Et la seule chose à laquelle la sorcière pensa, ce fut que sa baguette magique l'attendait sagement sur sa table de chevet. Quelle idiote!
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Sacha Miloshkovik
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MessageSujet: Re: Rendez vous avec les diable...   Rendez vous avec les diable... EmptySam 12 Déc - 4:24

[HJ: Avec grand plaisir miss j'espère que tu n'a pas froid aux yeux en tous cas!^]

Son regard jaune croisa celui d'une jeune fille, pas plus âge que Senad lors de sa mort. Un sentiment de peur, de frayeur même ce trouvait dans les yeux de la jeune fille. Le jeune loup encore fougueux ne la lâcha pas pour autant. Il lui aurait suffit de resserrer on étreinte pour lui arracher la tête rien qu'avec la force de sa poigne. Mais il ne le fit pas. Il déposa la jeune fille délicatement sur le sol. Il la prit par le bras, sans grande délicatesse et regarda se vêtements tous miteux. Mais d'où elle sortait celle là? Une jeune élève de Poudlrard surement. Mais que faisait elle dans les bois a une heure pareille? Il aurait du appeler Léandre. C'était la règle de la meute. Si quelqu'un les voyait, il devait sois mourir, sois faire partie des leurs. Mais pourtant il ne fit rien. La peur ne ce dissipa pas dans ses yeux, et plus il la regardait, plus il pouvait voir le visage pétrifier de son petit frère avant de mourir. Non il ne pouvait pas faire ça. Sans rien dire, il la pris violemment par la bras, au risque de lui arracher, et la mis sur ses épaules. Dans une vitesse plus qu'humaine, il la porta dans son entre. La ou personne n'en sortait, ou vraiment très rarement. La porte de la cabane était encore ouverte, et une odeur infâme y régnait. Depuis sa transformation, cet endroit était devenue un lieu de repas pour les Loups. On pouvait voir des ossement humain dans un coin, des bocaux étaient remplis de choses les plus insolite. Des yeux, des cheveux, des ongles. Léandre aimait garder des trophée de ses victimes, et bien sur, il les stoker chez son jeune apprenti. Il posa brusquement la jeune fille sur une chaise et alla fermer la porte a clé. Il attrapa un drap qu'il déposa sur tous ce qu'il restait des dernière victimes afin de ne pas trop écœuré son invitée surprise avant de reposer ses deux grands yeux jaune sur elle:

" Qui es tu? D'où viens tu que fais tu? Regarde toi tu es toute miteuse. Bouge surtout pas. Sinon je risque de ne pas rester clément très longtemps."

Au fond de la pièce se trouvait une petite commode dans laquelle Dursilla avait laissée certaine de ses affaire. Il attrapa une de ses vielle robe a la tendit a la jeune fille sans rien ajouter de plus. Il se retourna et prépara du café ainsi que des petits biscuit au beurre. Il ne la regarda même pas, voyant sans cesse le visage de Senad. Cette expression qu'il avait dans son visage, cette peur, toute cette haine. Tous ces vagues souvenir lui revenait en tête d'un seul coup. Ses mains se mirent a trembler et il lança a cafetière a travers la cabane. Celle-là alla s'exploser un peu plus loin dans un coin de la cabane. Il devenait complétement fous. Dans sa tête des voix firent éruption. La voie de Senad, celle de Léandre ou encore celle de Josh, son nouvelle ami. Cassandre aussi. Dursilla. Tous les gens qu'il aimait. Il ce détestait, détestait la nouvelle personne qu'il était devenue, ne ce supportait plus. Cette question raisonnait sans cesse dans sa tête. Pourquoi être sortie dehors ce soir là? Pourquoi lui? La cicatrice qu'il portait encore a son coup le dégoutait. Il ne pouvait en être fière et parfois, elle lui faisait encore mal. Ses yeux vert a l'époque, devenue jaune, si froid, si ténébreux, comme ceux d'un... un loup. Sa personnalité. Si aimante a l'époque. Lui qui rigolait, jouait, ne vivait que pour le sport extrême, ses moments passé avec Cassandre. Tous ce qu'il devait abandonner. Sa vie était foutus. Adieux le skate. Adieux Zac et Charly. Adieux Cass'. Maintenant il n'y avait que de la place pour sa nouvelle famille, ou pour le sang. Il ne voulais pas tuer, mais c'était plus fort que lui. Il le faisait. Comment pouvait il encore ce regarder dans une glace?

Il ne faisait même plus attention a la jeune fille qui ce trouvait là. Mais elle ne pouvait pas sortir, il l'aurait entendus. Ses mains tremblaient et des larmes commencèrent a lui monter au yeux. Il commencer a sentir l'attraction de la pleine lune qui serais la dans quelques heures. Il avait envie de sang. De déchirer une gorge, mais ne pouvait le faire. Cette pauvre petite n'avait rien demandée. Rien. Mais se fut plus fort que lui. Il se retourna violemment a l'attrapa de nouveau par la gorge. Elle portait la robe de Dursilla, et l'odeur de son amie, sa cœur presque lui chatouilla les narine. L'image de la Succube lui vint en tête. Jamais il ne lèverait la main sur Dursilla, jamais. Mais ce visage n'était pas celui de son amie. Mais celui d'une jeune fille paniquée. Le même regard que... S'en était trop. Il reposa la gamine dans une telle violence qu'elle s'écrasa sur le sol. Il commença a tous foutre en l'aire. Ses trophées, sa guitare, ses photos avec Cassandre. Sa vie était fini, foutus. Il devait tirer un trait sur tous ça. Comment pouvait on aimer une bête comme lui? Il ne pouvait se calmer et se cogna la tête contre le murs pour oublier qui il était. L'image de la petite paniqué lui revint en tête. Le bruit sourd d'un crane ce fracassant contre le mur cessa.

" Je suis désolé. Mais je ne peux te laisser partir. Pas maintenant. Ils sentent ma haine et ta présence. Il te tuerons. Je suis désolé pour tous. Je ne te toucherais pas. Crois moi. Mais je comprends ta haine et ra peur. Pardonne moi."
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Filomena Graigton
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MessageSujet: Re: Rendez vous avec les diable...   Rendez vous avec les diable... EmptySam 12 Déc - 15:08

[Pardon pour le roman n__n']

    Son cri d’effroi, aigu, retentissant, se perdit néanmoins des les profondeurs de sa gorge lorsque les yeux azurés de la demoiselle Graigton se figèrent dans ceux jaunâtre de son agresseur. Jaunes. Et si Filomena pensait que rien ne pouvait lui faire peur davantage à présent, elle aurait eut tort sur toute la ligne… Mais au fond d’elle-même, une petite voix s’évertuait à lui souffler que cette nuit allait être la pire de toute son existence. Jaunes. Ce mot revenait sans cesse dans l’esprit de la miss, alors que seules quelques secondes s’étaient égrenées. C’est fou comme le temps s’écoule lentement lorsqu’on est pétrifié de peur… Peut être histoire de laisser à notre cerveau le soin de graver tous les détails pour nous faire cauchemarder de façon plus réaliste par la suite… Jaunes. Il n’était pas humain. Cela vous paraîtra peut être une évidence, mais pour l’esprit apeuré de notre Filo’, cela ressembla de peu à la révélation suprême. Rapidement, des indices défilèrent dans sa tête. Ses yeux, jaunes. Sa poigne, si puissante que l’air peinait à entrer dans ses poumons… Enfin. Aurait peiné. Car effarée, Filo’ ne respirait plus que par hoquets douloureux.

    Soudain, dans ce qui lui avait paru durer une éternité, l’étreinte de fit plus douce, et ses pieds qui pendaient lamentablement à quelques centimètres du sol retrouvèrent le contact avec le sol meuble. Lorsque la poigne lâcha son cou si frêle, y laissant au passage quelques traces rougeâtre et sûrement quelques hématomes pour le lendemain matin, elle ne pu s’empêcher de vaciller, se demandant si elle n’allait pas choir pathétiquement. Ce fut l’unique pensée qui la traversa, avec l’étonnement de la libération. De la surprise. Pas du soulagement. Il était encore trop tôt pour que Filo’ pense à courir loin d’ici, à prendre ses jambes à son cou. Curieuse expression d’ailleurs, car ses jambes semblaient en coton, et son cou était meurtri…Et même si elle avait pensé à la fuite, ses jambes ne lui auraient sûrement pas obéi. Cruel Destin…Elle qui avait cru sa fin arrivée, à seulement onze petites années d’existence, n’avait même pas l’idée de fuir le danger… Mais même si cette pensée avait effleuré son esprit, cela n’aurait rien changé. Absolument rien.

    Rien du tout, effectivement, car dès qu’il lâcha son cou, ce fut pour emprisonner son bras entre ses doigts. Filomena ne pu s’empêcher de penser qu’il s’agissait du bras gauche, et qu’en conséquence, elle aurait un mal fou à écrire le lendemain. Petite idiote… Comme si elle allait encore être en vie lorsque le soleil se lèverait ! Mais elle ne pouvait s’empêcher de penser à tous ces détails anodins, qui faisaient perdurer l’espoir. Comme si toute cette scène ne s’était déroulée que dans ses rêves… Ou ses cauchemars plutôt. Le regard dans le vague, l’expression d’horreur et d’angoisse toujours figée sur ses traits, la jeune fille ne remarqua même pas le débat mental qui se déroulait dans la tête de son agresseur… Pourtant, les yeux jaunes, fixés sur elle, auraient du la faire tiqué. Il n’en fut rien. Ce fut une violente secousse qui l’arracha à son comportement amorphe. Une secousse qui se répercuta dans tous ses os. Sa main droite se posa presque aussitôt au niveau de son épaule gauche, qui la tirait de manière plutôt anormale en supportant tout son poids. Une grimace de douleur fendit l’expression de ses sentiments, tandis qu’elle plissait les yeux après avoir aperçu le paysage devenir flou. Elle n’avait jamais apprécié les manèges à sensation…À chaque pas, chaque saut, chaque bond, elle sentait son épaule menacer de se déboîter. Ou bien était-ce elle qui se faisait des idées…

    Elle n’arrivait plus à penser. C’était comme si son esprit s’était mit en mode veille pour s’empêcher de penser à toute l’horreur qui s’abattait sur elle. Pour s’empêcher de penser à des questions du genre : « Que va-t-il m’arriver ? » ou « Pourquoi moi ? ». Le genre de questions auxquelles on ne peut pas trouver de questions. Ou en trouver trop si l’on a une imagination débordante…Son esprit et ses pensées se focalisèrent sur les mouvements de l’individu qui la portait, essayant de suivre la répétition des gestes…
    Ce fut l’odeur qui lui fit ouvrir les yeux, de même qu’elle lui fit froncer le nez. Ca… puait, au sens premier du terme. Et à ce moment là, elle aurait tout donné pour se trouver autre part. Même suspendue par le cou, quelques instants plus tôt.

    Dans le coin de la pièce, à sa droite. La première chose qu’elle vit en ouvrant les yeux. La remièer des choses qu’elle aurait aimé ne pas voir. Des os. De toutes les tailles. Mais ce qui la marqua le plus, ce fut un crâne, enfoui à moitié sous l’enchevêtrement d’ossements déposés là. Un crâne, qui aux yeux de Filo’ prouvait l’appartenance de ses squelettes à l’espèce humaine. Un léger gémissement sortit de ses lèvres tandis qu’elle tournait la tête pour échapper à cette vision. Le front contre le dos de l’individu. Mais cette position ne dura pas longtemps. Car à peine eut-elle trouvé un peu d’obscurité, coincée entre le dos et la barrière que formaient ses cheveux humides, qu’elle lui fut enlevée. Posée sans cérémonie sur une chaise dure (en bois sûrement), Filo’ laissa tomber ses bras suivre le mouvement, sans aucune résistance. Le droit vint se placer dans le creux formé par ses deux cuisses, tandis que le gauche pendouilla dans le vide, mou. Il sortit de son champ de vision sans qu’elle cherche à le suivre. Elle était devenue pareille à un meuble. Semblable à un bouquet de fleur, qu’on pose quelque part pour faire joli. Non… Ce n’était pas ça. Elle était sûrement semblable à une escalope de dinde qu’on entrepose dans le frigo avant de la manger…Si vous l’aviez comparée à une escalope de dinde dans les couloirs de Poudlard, la miss se serait sûrement vengée instantanément. Mais les circonstances étaient toutes autres. Elle s’apprêtait à finir sa vie, avec au moins soixante ans d’avance. Alors une comparaison morbide de plus ou de moins… Un mouvement d’air, comme lorsqu’on étend une nappe sur une table vint apporter des effluves écœurants à l’odorat de Filomena. Si elle s’était plus ou moins habituée à l’odeur ambiante, l’odeur qui se trouvait près des…- Filo’ se refusa à prononcer le nom, même mentalement - devait être plus forte. Soudain, elle sursauta et se redressa d’un coup. Le premier mouvement depuis qu’il l’avait déposé sur sa chaise. Elle sentait son regard planté sur elle, comme lorsqu’on appuie sur un endroit précis dans le dos et que cela à pour conséquence de se raidir instantanément. Regardant droit devant elle, son regard vitreux s’éclairci peu à peu depuis son mouvement, et la jeune fille découvrit des bocaux, entreposés sur une étagère fixée au mur. Du liquide jaunâtre se trouvait à l’intérieur, conservant de manière efficace les… les choses diront nous à défaut de savoir exactement ce qui se trouvait à l’intérieur de ces récipients.


    - Qui es tu? D'où viens-tu que fais-tu? Regarde toi tu es toute miteuse. Bouge surtout pas. Sinon je risque de ne pas rester clément très longtemps.

    La première chose à laquelle Filomena pensa, c’est qu’elle aurait beaucoup de mal à lui répondre sans bouger… On ne peut parler sans ouvrir les lèvres, et les siennes étaient comme soudées l’une à l’autre. Néanmoins, elle ne pu retenir son corps de se contracter, dans un désir sourd de lui obéir, de ne pas bouger, de préserver son existence de quelques minutes supplémentaires. Son regard n’avait pas bougé. Droit devant elle, la jeune sorcière se contentait de fixer cette étagère, immobile, qui la narguait. Dans l’un des bocaux, elle finit par reconnaître un globe oculaire, et elle changea aussitôt de tactique. Si elle continuait à définir ce qui se trouvait dans ces bocaux, elle ne tiendrait pas longtemps… Elle opta donc pour une activité moins riche en rebondissements, l’observation des couvercles et de leurs teintes. Il passa entre elle et l’étagère, provoquant un battement de paupières. Une nouvelle arrivée d’air lui apporta l’odeur de la poussière. Et quand une masse tomba sur ses genoux, elle tourna le visage vers lui, une expression interrogative sur le visage. Elle ne tremblait pas. Avait moins peur qu’avant. Etait-ce la première surprise passée ? La certitude enfouie au fond d’elle-même qu’elle n’allait pas survivre à cette nuit ? La peur qui la privait d’une quelconque réaction normale ?

    Mais la réponse qu’elle chercha en le regardant, elle ne la trouva pas. Il s’était retourné…Sa main gauche attrapa un bout du tissu et, le levant doucement, elle découvrit qu’il s’agissait d’une robe. Prenant conscience de sa tenue, elle serra le tissu contre elle, collant le T-shirt blanc et humide entre sa peau et la robe, prenant enfin conscience du froid qui s’emparait d’elle au contact mouillé du vêtement. Elle n’osait pas enfiler le vêtement. Ce n’est pas que la jeune fille était pudique. Enfin, si, un peu. Mais en ce moment, il s’agissait surtout de la peur qui lui sciait les entrailles à l’idée de faire trop de gestes, trop de mouvements. Ses pensées furent interrompues par le vol d’une cafetière à travers la pièce, qui lui arracha un sursaut. Elle s’éclata contre le mur d’en face, en une étincelles de petits éclats qui tombaient au sol avec des bruits métalliques. Ses prunelles se fixèrent sur les éclats qui jonchaient le sol, regroupés en un seul et unique endroit. Elle les examinait, un par un, légèrement rassurée par l’odeur de caféine qui commençait à embaumer la pièce. Un semblant de normalité. Une normalité qui ne pu toutefois empêcher un revirement de situation. Une arrivée brusque de son oppresseur. Une nouvelle douleur au cou. Ses mains qui se crispèrent sur le tissu. Le tissu qui semblait former un rempart entre elle et lui. La panique qui commençait à s’emparer d’elle. Ses yeux qui se fermèrent rapidement, des larmes menaçant de couler sous la douleur.

    Soudain, la douleur disparut, remplacée par une autre. Ce fut comme s’il l’avait projetée par terre. Elle sentit le rebord de la chaise effleurer sa cuisse gauche, il laissant probablement une éraflure superficielle tandis que le choc contre le sol lui coupa le souffle. Elle le reprit difficilement, par à coup, se focalisant sur la vision du sol qu’elle avait pour s’empêcher de céder à la panique. Mais si ses yeux ne voyaient pas le carnage qu’il produisait, ses oreilles l’entendirent très bien. Des bruits de verre qui se casse, d’objets qui volent dans la pièce et qui atterrissent avec un bruit sourd. Puis, ce fut un bruit, répété, qui l’intrigua. Mais avant qu’elle n’ait pu en deviner la source, le bruit cessa. Il cessa pour laisser la place à la voix hachée qu’elle avait déjà entendue une fois.


    - Je suis désolé. Mais je ne peux te laisser partir. Pas maintenant. Ils sentent ma haine et ta présence. Ils te tueront. Je suis désolé pour tous. Je ne te toucherais pas. Crois moi. Mais je comprends ta haine et ta peur. Pardonne moi.

    Un sourire triste se peignit sur le visage de Filomena… Prenant appui sur ses coudes, elle se traîna plus qu’elle ne rampa vers le mur le plus proche, avant de se retourner pour s’y adosser. Ses jambes tendues devant elle, ses fesses à la jonction entre le sol et le mur, ses épaules ployées, elle lâcha légèrement la robe qui se trouvait toujours entre ses doigts crispés. Le tissu s’affaissa lentement sur lui-même, coulant comme de l’eau entre ses doigts écartés. Elle lui couvrait les jambes, et formait comme une boule emmêlée au niveau de son bassin. Elle prit son souffle, puis commença à parler. Sa voix était frêle, et par moment, elle se muait presque en un léger murmure, tout juste audible. Elle ne parlait pas pour faire passer un quelconque message. Elle parlait simplement pour parler. Elle parlait pour se détendre, pour briser ce silence qui l’oppressait beaucoup trop. Elle parlait pour enfin pouvoir se rapprocher à quelque chose de normal.

    - Je m’appelle Filomena Graigton... Mes parents Craig et Ailein… J’ai onze ans, c’est ma première année à Poudlard… On m’a envoyée dans la maison Serpentard…J’aime beaucoup les Abricots, et la belle teinte orange qu’ils ont quand ils sont mûrs… Par contre, le violet n’est pas une couleur harmonieuse. Je crois bien que je ne l’aime pas beaucoup…Je suis sujette à des crises de somnambulisme… C’est pas très pratique. Mon père disait que ça passerait avec le temps, mais ça n’a pas vraiment été le cas… Mais bon, peut être que quand je serais grande, ça s’arrêtera. Quand ça m’arrive, j’ai l’impression que quelqu’un me dicte mes mouvements, mes moindres gestes…Ca fait bizarre la première fois… Mais avec le temps, on s’y habitue. J’ai appelé John celui qui me dicte ma conduite. C’est bizarre, hein ? Mais j’avais sûrement besoin de rendre ce phénomène plus concret. J’ai toujours eu du mal avec les choses que je n’arrivais pas à comprendre…

    Et elle continua, parlant de tout et de rien. Immobile, dans son coin, ne bougeant que ses lèvres. Parlant de ce qui lui passait par la tête, sans fin, uniquement pour combler. Pour combler ce silence si pesant. Et pour s’apaiser aussi…Puis, tout d’un coup, sans prévenir, sa voix se tu. Le timbre diminua, diminua, et s’éteignit tout simplement. Elle leva sur lui les yeux qu’elle avait jusqu’alors tenu baissés sur ses pieds. Puis, tout doucement, elle demanda :

    - Qui es-tu ?
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Sacha Miloshkovik
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Rendez vous avec les diable... Vide
MessageSujet: Re: Rendez vous avec les diable...   Rendez vous avec les diable... EmptySam 12 Déc - 17:13

[HJ: wouhw! On ce croirait dans un film d'horreur je kiff! Pardon! Sortie tous seul! Ton style est super! ]

lIl l'écouta parler, comme ça, durant des minutes entières. Il ne savait pas vraiment ce qu'elle disait, il n'écoutait pas vraiment, ce rendant uniquement compte que parler calmer la peur qu'il avait réussi en encrer en elle. Il ne pensait a rien. Il savait pertinemment que de trop penser la meute le ressentirait et pouvait débarquer d'un moment a l'autre. Il était encore bien jeune, et avait beaucoup a apprendre. Et la, il risquait sa vie en gardant la présence de la jeune fille pour lui. Il n'écouta pas lorsqu'elle lui donna son nom. moins il saurait et mieux se sera pour elle. Et pour lui. Il le regarda pas. Son regard était vide. Sur le sol, juste au dessous de son regard ce trouvait un photo de lui et des Cassandre. Cet été avait était si beau. Le contest de skate, les balades au claire de lune, le vent lui caressant ses cheveux. Cette semaine de surf avec son ami. Tous ses beau moment passer. La seul choses qui lui rappelait qu'il était encore bien vivant. Et a l'époque, bien humain. Mais quelle part d'humanité restait encore en lui? Il l'ignorait. Il attrapa une cigarette sur la table et se l'alluma. Il fini tous de même par tourner son regard vers la jeune fille qui continuait de parler. Et alla s'assoir en face d'elle, contre le mur opposé lorsqu'elle lui demanda qui il était. Lui même ce posait la question. Un moldu? Un Loup? Un ancien professionnel de skate née au Liban. Orphelin a l'âge de 17 ans. Tant de questions. Qui était il vraiment? Lui même ne savait plus du tout. Il tira une bouffé sur sa cigarette, et plongea poura première fois de la soirée un regard de compassion a la jeune fille.


" Je ne sais même pas moi même qui je suis. Appel moi Sacha, comme tous les autres. Orphelin depuis quelques années. Moldu si on veut, du moins avant ça. Loup-Garou depuis deux mois, dépourvus de pouvoir mais pourtant. Je sens cette espèce de force dans mes bras et je ne peut même pas expliquer d'où je tiens ça. Ancien professionnel de skate board. Retrouver a Poudlard grâce ou a cause de Dursilla Latvälla qui m'a sauvé la vie. Oui, je fréquentait le monde sorcier bien avant ça. Né au Liban durant la guerre. De toute manière,, la guerre a toujours était présente dans ce putain de pays. J'avais un frère, qui est mort alors qu'il avait a peu prêt ton âge. Dix ans pour être exact dans un bombardement. Tu vois, la question du qui je suis, je te répondrais plein de choses. Dit toi bien que je suis juste ça. Sacha. Je vit dans cet endroit miteux que je ne supporte presque plus mais que je ne peux arranger vus que je ne maitrise pas la magie. Bref. Je suis juste moi. Du moins je l'était avant ça. Maintenant je suis ce que tu vois. Un monstre. C'est tous ce qu'il y a a savoir."

Un monstre, voila la définition exacte de ce qu'il était. Un monstre sans vergogne. La marionnette de Léandre. Le jeune padawan de la meute. Le nouvel espoir des Loup; L'homme qui fut nommé par son chef lui même pour être le successeur de la bande. Il se releva, tournant ainsi le dos a la jeune fille. Les seul mots qu'il avait entendus fut le nom de Josh. Josh son nouvel ami, son nouveau frère. Elle était somnambule, voila ce qui l'avait conduit ici. Elle ne pouvait être la marionnette de Josh, non ce n'était pas possible. Il divaguait. La faim lui faisait penser n'importe quoi. Mais ce contrôler pour ne pas la manger lui rappeler que peut être, il n'était pas totalement foutus. Il sortie du frigo un bout de viande fraiche bien saignante qu'il ne fit même pas cuire. Il la mangea comme ça. Oui, un loup, un animal, voila ce qu'il était. De la viande fraiche, voila ce qu'il mangeait. Pas moins dégueulasse que ce que mangeait ses saloperies de buveurs de sang. Certes moins raffiné, mais il ne pouvait aller contre sa nature. Les animaux ne font pas cuire leurs viande. Il savait qu'il la dégouterait, mais dans son monde, dans ce monde, on pouvait tomber sur tout et n'importe quoi. Il croqua dans le bout de barbaque a pleine dent, le os tourner a la jeune fille pour qu'elle ne puisse pas voir ce spectacle qui devait la répugner. Mais c'était sois ça, sois la mort. Et il ne pouvait pas faire ça. Pas la tuer. Pas elle. A la dernière bouché, il attrapa une bière qu'il vida presque d'un traite, et ce retourna de nouveaux. Du sang avait coulait sur son T-shirt. Il avait l'habite. Il le retira, ce retrouvant ainsi torse nus devant elle. Son corps était musclé, il était plutôt bel homme. Dommage pour un monstre, il avait vraiment de quoi séduire. Sur son torse ce dessiner a tatouage représentant une vieux signe tribal. La marque de la meute.

Oui il appartenait désormais a une communauté. Celle des Loups, celle des monstres. Les Loups de sa meute ne ce battait pas contre n'importe qui. Une vielle querelle entre eux les vampires les unissait, créant ainsi une sorte de seconde guerre a Poudlard. Leurs objectif, faire tomber la tête de ses buveurs de sang. Il n'avait jamais était grand ami avec Lex, et au risque de détruire Dursilla, il avait bien l'intention de tous les faire tomber, l'amant de son amie compris. Pour ce qui était des humains, ils leurs servait de nourriture. Sacha et Cassandra, la fille de a meute, se nourrissait plus de viande animal que de viande humaine. Mais ils ne pouvaient tous de même pas aller contre leurs nature, et ne crachait pas sur une cuisse humaine lors des pleine lune. Le moment ou leurs puissance était optimal. La jeune fille avait vraiment eu de la chance d'être tombé sur lui ce soir. Mais le danger n'était pas moindre. Il pouvait flancher a tous moment. Surtout a cette époque. La lune était presque pleine. Et personne ne peut contrôler un Loup-Garous, même le loup lui même. Dehors, on pouvait entendre le bruit des sabot de Théandras, le bel étalon qui lui tenait compagnie. Le cheval de Dursilla, qui lui appartenait plus qu'a elle ces derniers temps. Le cheval avait sentit le changement en Sacha, mais ne lui avait pourtant pas fauché compagnie. Quelques choses gratta a la fenêtre, et Sacha laissa entrer Bosco, un loup blanc. Son nouvel animal de compagnie. Le loup ne fit pas attention a la jeune fille, et préféra plutôt ce précipiter sur le bout de viande qui l'attendait a deux mètre de celle-ci.

" Ne t'en fais pas, il ne te fera aucun mal. Il n'est pas méchant. Bosco est comment dire, un jeune Loup bannit de sa meute. Je ne suis pas si différent d'eux. Alors je l'ai recueillit. On ce comprends par la pensée. Même pas besoin de ce parler. Oui je parle au loup, normal j'en suis un. Tiens mange un peu, ça te fera du bien."

Il lui tendit un panier remplis de fruits frais. Quelques choses de comestible et de goutus dans cet endroit si délabré. Bosco fini sa gamelle et alla se réfugier prêt de son nouvel ami. Sacha alluma un feu dans la cheminée pour apporter un peu de chaleur. La peur au ventre. Il montrait une grande part d'humanité après l'horreur, mais pour combien de temps encore? Dans sa tête, la voix de Bosco raisonna.

* Je ne pourrais te contrôler tu le sais. Mais je ferais de mon mieux. Tu ne peux la laisser sortir avec Léandre qui traine pas loin. Si elle part elle meurt, si elle reste c'est cinquante cinquante. Le risque est a prendre. Prends le.*

[HJ: Tu peut pas entendre ce qu'on ce dit mais c'est pour te donner une idée de ce qui peut t'attendre.]
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Sacha Miloshkovik
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MessageSujet: Re: Rendez vous avec les diable...   Rendez vous avec les diable... EmptyMer 23 Déc - 16:23

[HJ: Sujet a supprimer quand tu l aura lu, j attends ta réponse avec impatience! Fais signe quand tu reviens!]
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