Dursilla Latvälla6ème Serpentard
Nombre de messages : 200 ♦ Groupe ♦ : Mi-succube. ♦ Baguette ♦ : 33 centimètre, bois de Merisier, plume d'hipogriphe. ♦ Age du personnage ♦ : 17 Date d'inscription : 29/04/2009
| Sujet: Divagation, pensées, sentiments, histoire, inspiration, de Dursilla. Sam 6 Juin - 0:41 | |
| Le soleil vient a peine de se lever, et je peux encore voir les rayons rouge qui essaye de traverser les quelques nuages que l'on peut apercevoir dans cette semi obscurité. Je m'ennuies. Je ne sais quoi faire. Enfaite, je n'ai jamais vraiment sus quoi faire. Je m'ennuies loin de lui, loin de ses bras, loin de tous, mais peu importe. Alors j'écris. Le récit, la courte nouvelle qui émane de ma simple inspiration est d'une médiocrité la plus certaine. Mais bon, je l'écris quand même. Je ne sais pourquoi je raconte tous cela sur ce simple bout de parchemin, car je sais au plus profond de moi même que nul ne le liera. Mais bon, peu m'importe. Je me contente de passer le temps, de faire couler le plus rapidement que je peux les quelques minutes de ma vie qui m'exaspère de plus en plus. Enfin bon. Tous ça pour ne rien dire, je m'ennuies tellement. Alors voila les quelques lignes qui m'ont permis de passer le temps durant cette interminable nuit a travers laquelle je n'ai fais que de penser a mon amour. Ces lignes sont bien mauvaise, mais je reste une éternelle insatisfaite. Nouvelle fantastique, surnaturelle, écrit a la manière des moldus pour des moldus, peut importe. Personne ne la lira jamais de toute manière... Autodestruction ou machination?
Il avait 18 ans, il s'appelait Emppu. Emppu Hyempala, et il avait toute sa vie devant lui, mais pourtant. La seul leçon a retenir de se récit et celle la, ne jamais faire confiance a personne. Encore moins a un inconnue. Vous voulez savoir pourquoi je dit ce genre de choses? Lisez ce récit et vous comprendrez...
Emppu allait au lycée de Jyväskylä, en Finlande. Il était en dernière année et sa plus grande passion était la batterie. Pourtant il était bien piètre musicien! Aucun sens du rythme, ni coordination entre pieds et main, bref c'était mon ami, mais niveau batterie peut mieux faire. Pour ses 18 ans il décida de s’offrir une batterie avec l'argent offert par sa famille. Jamais je n'oublierais cette endroit, j'y était présente. Le jeune homme m'amena dans un immeuble désaffecté. On lui avait dit qu'il trouverais des instruments pas chère a cet endroit, pas étonnant vus l'état des lieux! Le magasin ce nommer "weird instrumental shop" le magasin des instruments bizarre. Quel nom étrange pensais-je. La vitrine était la plus étrange que j'avais vus dans ma vie. Des violons de la marque stradivarius, des pianos a queue, mais pas de n’importe quel marque. Pourtant il fallait bien l'avouer, ces instruments ne valaient plus rien. Des antiquités de centaines d'années, mais qui pouvaient servir uniquement d'objet de décoration, en encore fallait avoir de très mauvais goût! "_ Je suis pas rassurer tu veux pas qu'on aille voir ailleurs?" Ce fut mes mots a l'adresse d'Emppu .Le jeune homme me regarda et approuva mon idée. Au moment de sortir de la boutique, un homme nous interpella. Un homme qui avait tout sauf de quelqu'un de normal! Il était effrayant! Ses cheveux étaient long, noir gras, ses yeux étaient entrés dans leurs orbites, il avait les mains crochus, des grand ongles en ressortait, le gérant du magasin ressemblais de loin a un monstre de film d'horreur. "_ Puis-je vous être utile? dit il. Je donna un coup de coude a Aurélien et le supplia du regard. Un regard dans lequel je lui demandait de quitter les lieux le plus vite possible. L'odeur de la boutique devenait de plus en plus horrible. Cela devenait insupportable. _ Je recherche un instrument de musique mais je doute pouvoir trouver ce qu'il me faut ici. Désolé du dérangement. _ Jeune homme, ne vous fiez pas aux apparences que cherchez vous? _ Une batterie bon marcher pas chère mais de bonne qualité, malheureusement je n'en vois pas ici. Au revoir monsieur." Emppu me prit par la main et m'entraîna a la sortie du magasin. Faut dire qu'il était pas du genre a prendre des risques. Tout d'un coup la main du gérant se referma sur mon épaule. Je poussa un hurlement. _ Attendez, nous dit-il. J'ai ce qu'il vous faut. _ Vous plaisantez lâchez la s'il vous plais! Lui répondit le jeune homme en arrachant la main du vieux monsieur. Je vous ais dit que je ne suis pas intéressé par ce que je vois là, vos instruments sont hideux et inutilisable. _ Vraiment. Venez voir vous ne serez pas déçus. Rapport qualité prix vous ne pourrez trouver mieux. Voyant le jeune homme hésiter je lui demanda de ne pas aller voir, et de partir. _ Emppu s'il te plais, allons y mon cousins a des instruments pas chère je te l'ais déjà dit. _ Je reviens attends moi là j'en ais pour deux minutes." Désespéré je vis le jeune homme s'éloigner. Au bout de 10 minute je le vis réapparaitre. Il poussait un chariot sur lequel était monter la plus belle batterie que j'avais jamais vus. Une batterie d'une marque inconnus, mais d'un esthétisme parfait. Ses fut étaient en bois, les cercles d'or. Je vis mon ami tendre un billet de 100€ seulement et on pris le chemin de la sortie. _"J'aurais jamais crus trouver une merveille a ce prix la! Je l'ais essayait, et je me suis rendu compte que je n'étais pas si mauvais que ça! En route il faut que je te montre ce qu'elle vaut!" Jamais je n'avais vus mon ami aussi heureux depuis que je le connaissait. On chargea la batterie dans ma 106 puis on retourna a l'appartement.
Une fois la batterie montée, Emppu se mit a jouer, avec tellement d'habilitée, je n'en revenais pas. Mon ami qui auparavant avait était si mauvais. Cela ne pouvait être réel, je le savais quelque choses n'allait pas. Pourtant je ne croyais ni au miracle ni au surnaturelle. Je ne pouvais dire ce qui ce passait réellement. Je pouvais tout de même constater quelque choses, plus Emppu jouait, plus il perdait de vivacité. Fallait avouer il était loin d'être le garçon le plus vif que je connaissais, mais a ce point. Il était devenue tout blanc, et d'un coup il s'effondra sur le sol. Ce fut 10 minute plus tard qu'il se réveilla. _"Que c'est il passé? lui demandais-je. _ Je sais pas, je me suis sentis faible, et puis trous noir. Je comprends pas c'est comme si la batterie me donnais un certain talent, mais en contre partie elle prend mon énergie. _ Arrête t'es parano! C'est un objet tu a du avoir une baisse de tension! _ Hilja, sois réaliste, hier encore je ne savais pas jouer, et la je viens de te caler un morceau de « DragonForce » alors que je ne connais même pas la partition! je viens de signer un pacte avec le diable j'en suis sur! _ Mais non stop l’alcool , j'avoue c'est étrange mais quand même!" Ce fut sur ses mots que je laissa mon ami seul dans sa chambre en compagnie de son nouveau bijoux. Si seulement j'avais sus...
Le lendemain, Emppu arriva au lycée sans la moindre trace d'énergie. Il était pâle, faible, il avait l'aire fatiguer, j'eus du mal a reconnaître mon ami. _ Toi t'as une tête a avoir passé la nuit a faire ta disert' de philo!" Je lui donna une tape sur l'épaule mais mon ami ne répondit même pas. Il alla s'asseoir a sa table. Quand je fut assise a ses côtés je me rendis compte d'un truc étrange. Ses mains tremblaient, ses pieds battaient un rythme d'eux même. Ce fut logique, Emppu avait passé la nuit a jouer. Il me regarda dans le blanc des yeux et murmura ses mots "_ La batterie est maudite, crois moi, je n'arrive plus a m'arrêter de jouer pourtant, je me sens faible comme jamais je ne l'ais était, je t'en pris Hilja aide moi, j'ai besoin de toi, ramène la batterie sinon elle me tuera..." Ce fut les seuls mots d'Emppu. Le soir même je me dirigeais vers le magasin, la batterie dans la voiture. Arrivait a la boutique, celle ci était fermée, les vitrines vide. Énervée je cassa un carreau pour ouvrir la porte et remettre la batterie a l'endroit ou Emppu l'avait trouvé. Il fallait que je sauve mon ami. Le magasin paraissait encore plus délabré que la veille. Une question me survint en tête, pourquoi le gérant c'était il enfui? je sentit des frissons au niveau de la colonne vertébral, j'avais peur. Je déposa l'instrument dans le magasin, et parti en courant rejoindre mon ami qui m'attendait dans son appartement. Il se sentait un peux mieux, depuis que je l'avais quittée il avait repris des couleurs, mais un truc clochait, ses mains et ses pieds ne cessaient de battre un rythme incessant. Je m'assit a se côtés et lui demanda si ça allait. Comme je m'y attendais il me répondit que oui, mais qu'il préféré rester seul. Je l'attendis au lycée le lendemain. Mais il fut absent. Sans m'inquiétais je pensais le revoir le lendemain. Deux jours, trois, quatre jours, je n'eus aucune nouvelle d'Emppu. Je décida de lui rendre visite. Arrivée a son appartement les volets étaient fermés, seul un bruit sourd se faisait entendre. " c'est pas vrai" pensais-je. Quand je le vis enfin, je ne pus m'empêcher d'échapper un hurlement. Emppu était la, derrière son instrument. Il avait été rechercher la batterie. Il était d'une tel pâleur qu'on aurait crus voir un fantôme, il avait le regard dans le vide, ses réflexes étaient impressionnant, mais ses seuls gestes fut de taper sur la batterie. Je m'approcha de lui, il ne me voyait même pas. Quand je lui parla, aucun son ne sorti de sa bouche. Je lui arracha les baguettes des mains, et ses pieds continuaient de taper de plus belle sur la grosse caisse dont ressortait un son horrible, celui des ténèbres. Mon ami me regarda enfin, il me suppliait du regard. Ses lèvres bougèrent et il murmura enfin un seul mots "aide moi". Je ne savais pas quoi faire. Je le souleva et l'allongea sur son lit. Le soir même la batterie brûlait dans les flammes de l'enfer.
Emppu m'y du temps a s'en remettre. Il rata les cours pendant deux semaines, puis revint enfin. Il avait l'aire d'aller mieux. Du moins c'est ce que je pensait. Un moi plus tard, je reçus un coup de téléphone de ses parents. Ils étaient partie passé deux mois au Liban. Il me racontèrent ce qu'il avait trouvés a leurs arriver. Ils avaient retrouvés le corps brûlé de leurs fils. Au fond de la chambre, une batterie était exposée, avec une lettre posé sur la peau d'un de ses fut: "ne jamais brûler un instrument qui est naît dans les ténèbres...
Voila comment je passe le temps. A écrire des idées noirs, bien qu'elle fut un peu médiocre au niveau littéraire mais peut m'importe. Je peux désormais voir apparaitre le soleil qui s'élève dans le ciel, et le réveille de ma camarade de chambre vient de sonner. Il est donc l'heure pour moi d'aller me doucher. Peut être un jour quelqu'un trouvera ces mots. Mais pour le moment, je doit retourner a mes occupations journalière, et continuer de faire semblant, de jouer mon rôle de la petite fille gentille. C'est bien la seul choses que je sais a peu prêt faire. Mis a par tuer, ou faire de la magie. Je continuerais donc d'écrire tous ce qui me passe par la tête une autre fois. De toute manière, je n'ai plus rien a dire...
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