Voilà le but est simple. J'invite les amateurs d'écriture à publier ici leurs petites oeuvres, en prose ou en poésie, tous les genres, tous les thèmes.

A vos plumes.

Voilà un petit texte sortit tout droit de mon cerveau et de mon stylo. Votre avis ?


Ils sortent des comptoirs, rayonnants. Ils sentent bon la bière, et la limonade. Paume contre paume, ils errent, insouciants, sur la route – éphémère - du bonheur. Comme si l’amour pouvait durer toujours ! Utopie adolescente ! Sur leurs visages, des sourires, dans leurs yeux, des éclairs de joie. Plus tard, quand vient la pluie, des éclats de rire, des regards complices. Tels des âmes sœurs, ils se chuchotent de douces paroles à l’oreille, des bourdonnements trompeurs de sycophantes. Et les baisers, ah ces baisers ! Des baisers, aussi légers que des plumes, aussi fragiles que des papillons. Ils marchent, encore et encore, sans se rendre compte que, peu à peu, leurs cœurs qui s'essoufflent, ralentissent leur valse endiablée. Puis, en haut du Boulevard, vient le silence. Alors, à droite, à gauche, s’envolent peu à peu les braises de la passion. Les rues ne sont que des fleuves de feu où se consument les amoureux.

c'est profond^^

ah oui celui-là est un de mes préférés *.*

Chère amie,
Ne m'en veux pas, je t'en prie. Je ne me souviens pas de cette joururnée, je ne veux pas me rappeler de cette journée. Cette journée où la réalité, drapée de noir, m'a fait face. C'était une sombre journée d'été, le silence pesait à mes oreilles, le vide envahissait ma tête. Pourtant, même les oiseaux chantaient ta montée. Mes yeux ne pouvaient retenir ces incontrôlables torrents de larmes. Plus rien n'avait de sens. Que pourrais-je donc devenir sans toi, cette personne qui m'épaulait, une amie qui m'écoutait, une soeur que j'aimais ? Jamais je n'aimerai comme je t'ai aimé, comme je t'aime à l'éternité. Jamais je n'oublierai cette journée ; cette journée où la réalité m'a frappé ; la réalité de ton corps enterré, et de ton esprit envolé.
Je chanterai ta personne au nom de l'amitié, de l'amour, du passé.

Je tiens à préciser que cette lettre ne relate aucun fait vécu, tout est fictif.

Ah ce texte ! Tu écris bien Bobby

c'est triste