Poudlard Univers

L'univers de Poudlard

Description :

L'Histoire:

Alors, voici le contexte de l'histoire,veillez à lire avec attention ce qui va suivre et si vous avez la moindre question, surtout, n'hésitez pas.

Chaque année venait mourir au creux de la pomme d’une main fragile, comme les sublimations de la rosée viennent mourir au coeur de la corolle des fleurs. Le temps n’était plus qu’âtre aux arcanes frêles, rongées par la mort de la saison elle-même. Mais la fin n’était pas, l’ennui persistait, et il attendait, dans son abîme où la vie n’était qu’éphéméride de grisaille et de silence. Elle qui le tuait peu à peu, le consumait de son brasier éternel, l’achevait de sa perpétuité mortuaire. Emprisonné par son âme, par son ressentiment, emprisonné par ce qui faisait de lui un être quelque peu vivant, il tentait de s’évader. De refouler cette vérité qui pourrissait ses articulations, tendait ses muscles et noircissait ses iris. Mais il lui manquait l’essentiel, il lui manquait les ailes, la porte de sortie, celle à qui il vouait une passion infinie, celle qui n’était plus. La masse poreuse hantait ses souvenirs, la silhouette docile n’était que la source d’un fébrile avenir… Et pourtant, le sentiment fervent était là, l’indélébile souffrance était là, la sempiternelle lamentation taciturne était là.
Il porta à sa joue une main rongée par l’infini, une main rongée par l’attente d’une voix inaudible, une main rongée par son être, par son désespoir, par sa funeste présence. La vision de ses deux pupilles émeraude se vit troublée, par quelque malheur resurgit du passé, mais il persistait à croire. Croire. Croire au néant porteur de sa délivrance, croire en la fin d’une déchéance, croire au terme d’une atrocité et au lendemain d’un homme. Il fallait croire pour ne pas en mourir, croire pour ne pas en souffrir, croire pour pouvoir un jour ressurgir. Son épilogue restait à écrire, il en était certain, mais la conviction ne suffisait pas. Qu’est-elle face à la vie ? Il se battait sans relâche, mais sa force n’était plus que mirage d’espoir et de folie, mêlé au désir ardent d’un homme dont tout ce qui l’avait fait, venait de le détruire…

Lorsque la brise, exquis mélange de trésors grenat et cuivre, vint lui susurrer quelque histoire enfantine, il releva un buste que le temps avait courbé, et regarda à l’horizon des ténèbres, si le soleil daignait enfin se montrer. Mais non, rien, encore et toujours. Il en avait presque honte. Son honneur avait été souillé, sa fierté, amèrement ravalée, mais il persistait à vivre. Quels sont les hommes qui l’auraient suivi dans cet exil de solitaire folie? Il enfouit à nouveau son visage au creux de ses mains et ferma des paupières où la poussière ne s’était que trop engouffrée. Le temps perpétuait son œuvre de mensonges et d’afflictions, laissant le sobre soupir anonyme se faire ronger d’impuissance.

Le poison de l’amour, gorgeait son âme du souvenir de la femme qui l’avait fait s’illuminer. Elle qui l’avait sortit de son malheur, elle qui lui avait bâtît, à la seule force de son doux sourire, une apogée digne des plus grands. Car, un jour, l’homme qui croupit à présent hors du temps, avait été le personnage principal d’une histoire parsemée d’amour, de joie et de folie. Aux côtés de la femme qu’il aimait, il avait érigé le symbole de la puissance universelle, l’âtre de lumière instigatrice du savoir. A eux deux, ils réunirent le monde enfoui, et leur livrèrent le grand secret : toute existence a son savoir, toute civilisation, son pouvoir. C’est ainsi que surgit des méandres de la sorcellerie un sobre bâtiment, le symbole de la sempiternelle existence, des sorciers et sorcières du nouveau siècle: La maison de Lumière.
Bientôt, la nouvelle se répandit, et alors que le monde magique se développait peu à peu sous une menace que personne n’osa imaginer, de nouveaux arrivants aux regards pétillants de la candeur qui les préservait quelque peu, passèrent les portes de l’école de sorcellerie. Le jeune couple mena, du bout d’une baguette puissante et fière, ce qui devint le collège pour jeunes sorciers le plus renommé du monde magique. Tous, souhaitaient pouvoir un jour pénétrer dans la vieille demeure qui avait été découverte, et non pas érigée, comme leurs fondateurs l’avaient laissé entendre. En effet, la bâtisse regorgeait de trésors en tout genres, vestiges d’une époque meurtrie, qu’aucun sorcier ne souhaitait évoquer. Les années passèrent, l’étrange menace se fit plus vive mais le fleuve de la vie poursuivait son cours. Jusqu’à ce que le doux soleil se coucha, sur sont lit de mort, entouré de l’unique homme qui lui avait jamais voué un tel amour…

Le même murmure, la même réticence, sur toutes les lèvres ne vivait que la même crainte, susurrée jusqu’aux confins de la nuit. Le collège Poudlard allait fermer ses portes et le directeur, poursuivre son acerbe décadence. Sous le regard malsain d’une menace perfide aux allures de leurre épidémique. Ils étaient tous déjà épris de cette angoisse désirée et obtenue, et la fin de l’ère magique retentissait dans l’air, comme la suave plainte du veuf imprimait les regards emplis de remords de ses élèves.

Ainsi, il était devenu l’ombre de lui-même, seul, plongé dans un passé d’amour et de bonheur, tourné vers un avenir de solitude et de torpeur…

Poudlard la prestigieuse, Poudlard la grande, La Maison de Lumière, autant de titres qui avaient été donnés à l’œuvre d’une vie misérable et inachevée, perdue à jamais par l’égoïsme et la lâcheté d’un homme sans rancœur ni honneur. Seulement, une ombre, blanche, flottait, errait, entre les remparts qu’elle avait jadis parcourus, tête haute, cœur léger, regard stricte et aimant. Allait-elle leur offrir quelque renaissance ? Allaient-ils sortir une tête hargneuse de l’eau ?

Les morts pleuvaient. Où pouvaient donc se réfugier les sorciers ? Chaque jour apportait son lot de disgrâces, les nouveaux nés mourraient emportant leurs mères, les pères croupissaient en l’attente d’une bataille imaginaire où aucun n’aurait eût le courage de se rendre. Et la vie poursuivait son cours. Les moldus aussi, étaient touchés. Mais la menace ne se dévoilait pas. Le murmure se contentait de venir chercher les âmes innocentes dans leur sommeil et de détruire les familles, briser les souvenirs. Les enfants affluaient à Poudlard car l’école était devenue le seul endroit sûr. Mais qui pouvait bien la diriger ? Après tout, peu importait. Les femmes y envoyaient leurs fils, et attendaient leur tour. Inlassablement, la vie emportait les hommes. Le ministère étouffait les affaires et faisait croire à un semblant de banalité, mais la menace pesait, encore et toujours…Toujours…

A l'instant même où vous lisez ces quelques lignes le monde des sorciers est en crise et les enfants se réfugient par centaines à Poudlard alors que leurs parents meurent au delà de ces murs. Penétrez sans crainte dans l'âtre de lumière et découvrez son mystérieux gérant...

Laps Temporel:

Nous sommes en 2006, plus précisément, le 5 septembre 2006.
Dans le monde, les mentalités ont évoluées mais celles des sorciers divergent tant de celles des moldus. Le monde de ces derniers, n'obeït qu'aux mots racisme, tiranie et souffrance alors que chez les sorciers, peur, lâcheté et soumission retentissent avec force. Prenez garde à ne pas vous égarer dans un de ses chemins tortueux, car l'un ne vaut pas plus que l'autre. Poudlard conserve ce que le mal a décimé avec le temps. Le monde extérieur n'est qu'anarchie mais ici vous serez préparés à cet univers sanglant et formés pour le faire changer...

Pour ce qui est de la technologie elle en est au même stade que celle que vous connaissez, moldus de ce temps. Et les sorciers n'ont toujours pas changé de systèmes depuis des centaines d'années.

Date d'ouverture et nombre de membres : Lun 25 Déc 2006 - 21:12

Invité

J'aime ton forum...je vais peut etre m'inscrire je ne sais pas...

Yataaaaaaaaaaa tu en as fait la pub *o* Alice est contente!!!

Que je vous explique je suis la première admin de ce forum elle est la deuxième éhéééé je suis contenteuh!!! lol

J'éspère qu'il y aura bientot des membres >___<

Sa serai cool si tu t'y inscrivais Jason :p Mais on ne vas pas t'y obliger lol