Une rencontre dont je me serais bien passé(e).... ( PV Jason ?)

La journée de dimanche était bien avancé et malgré la neige persistante il ne faisait pas si froid.
Les journées semblaient s'allonger et il flottait dans l'air un je-ne-sais-quoi de printanier. Et cela mettait Améthiste Kimbers d'excellente humeur.

Certes, l'ambiance au château n'était pas au beau fixe depuis le début de la direction de professeur Lestrange et elle ne s'améliorait guère au dehors mais la jeune sibylle gardait espoir, elle sentait...Non, elle savait que cet état de fait n'avait rien d'éternel.
Et comme la neige qui font avec les rayon du soleil, le Bien reprendrais son droit le moment venue. Jusqu'à ce qu'une nouvelle guerre n'éclate.

Pour l'heure des jours plus sombres encore se profilait au loin.
Songer à toutes ces choses sapa le moral de la jeune femme. Entre le nouveau régime, son poste de préfète en chef, les amours de Mana et ses visions et les cours, elle ne savait plus très bien ou elle en était.
Soupirant, elle agita ses mèches couleurs corbeau et avança vers l'un des seuls endroits susceptibles de l'apaiser en cet instant : La bibliothèque.

Elle fit un détour par la salle commune des préfets récupérant son carnet et de quoi écrire puis se rendit dans le repaire de grimoire.
La Bibliothèque était étrangement dépeuplé tandis que le silence régnait en maitre. Améthiste s'installa sur la première table qu'elle trouva et y déposa ses affaires.

Enfin posée, elle sortit son carnet à dessin qu'elle commença à feuilleter, peu inspirait par l'admosphère presque lugubre qui régnait dans la pièce.
Son regard tomba sur un croquis qui datait d'avant les vacances de Noêl. Il s'agissait d'un jeune homme, un Serpentard, qu'elle connaissait.

Il avait un visage fermé, une expression presque furieuse était ancrée sur ses traits. Ses yeux pourtant ne reflétait pas le dégout qu'il semblait vouloir exprimer au travers de sa posture. Il se tenait appuyé contre un mur, les bras croisé. Son corps tenu dans un port fier, presque altier à l'instar d'Amy.
Quelque chose qui en imposait qui faisait sentir aux autres que malgré sa grande différence et certaines "carences" qu'il aurait pu avoir; il n'en n'était pas moins égale, voir dans le cas du garçon, superieure à eux.
Dans son regard Améthiste voyait de la douleur mais au delà de ça du défi, du dédain et de la morgue.
La jeune fille sourit: Oui, cela résumait parfaitement Jason Clark.

Et toute voyante qu'elle était elle ne s'attendait pas à ce retrouver face à ce dernier, lorsqu'elle relèverait la tête.

Il y' a des choses que l'on ne peut prévoir.

Jason Passa son dimanche parmi les créatures de la foret interdite, il faut dire que depuis ses premier jours d'école de première année il s'était habitué à ce lieux, les créatures était bizarres dans cette foret, enfaite il y en avait de toutes sortes, Maldorane lui avait montré qu'il fallait maltraiter les elfes mais il avait finit par arrêter pourquoi les maltraiter ? Les elfes étaient très puissant, il méritaient le respect, en tout cas c'était ce que pensait Jason, vraiment celle-là n'avait rien compris, il avait finit pas s'habituer, il avait remarqué que Maldorane, n'était qu'une prétentieuse, quand il pensait à la première fois qu'il l'avait vue dans le train, elle faisait pitié, c'est pourquoi il avait finit par ne plus lui parler.

Il pensa aussi à une Gryffondor dont il avait fait connaissance il y a bien longtemps, puis il l'avait embêtée et s'était excusé, mais finalement elle avait découvert le secret qu'il était Mangemort, cella l'avait déranger même s'il elle n'avait pas de preuve si elle avait voulu le dénoncer, cela le dérangeait jusqu'à qu'il appris qu'elle connaissait le secret de Maldorane, si ça se trouve c'était elle qui s'était dénoncée toute seule, l'imbécile !

Il n'avait plus jamais fait attention à ces deux filles, durant tout le reste de sa vie, Jason avait bien changé depuis qu'il avait mit le choixpeau sur sa tête il comprenait maintenant pourquoi il avait hésité à l'envoyer à Poufsouffle, lui qui avait toujours méprisé ceux-là, il avait découvert qu'il détestait l'injustice, alors pourquoi les détestait-il ? Ils étaient trop entêtés, trop collant et trop ennuyant, on pourrait se demander pourquoi il avait été envoyé à Serpentard, il était rusé, et avait la capacité de parler fourchelangue.

Si en cet instant il avait su que en entrant dans la bibliothèque, il la verrait il aurait peut-être fait plus attention mais non, il s'était dirigé vers la réserve dès que la bibliothécaire s'était dirigée à un autre coin de la bibliothèque et ressortit avec un grimoire qui s'intitulait °℘ℵℑϑℜζ° puis il avança en direction en direction d'une table et la vit.

Améthiste eut l'impression que le temps venait de s'arrêter.
Elle était face à Jason tout aussi surpris qu'elle, et aucun d'eux ne faisait mine de bouger.
La jeune sibylle ne se rappelait que trop bien de leurs dernière "vrai" rencontre, quelques années auparavant.
En songeant dans quelles conditions celle-ci s'était produite, un frisson remonta le long de sa colonne vertébrale. Et un goût amer se répandit dans sa bouche, comme si elle venait d'avaler une tranche de pamplemousse.

Devant elle, son vis à vis resté figé comme s'il avait lui même était changé en statue de sel. Ses yeux semblaient remplient d'indécision et d'incompréhension, derrière l'habituel touche dédaigneuse...

Les secondes s'égrainaient avec une lenteur que la préfète en chef trouva presque anormal.
Et ils se regardaient toujours en chien de faience, comme si faire un mouvement allait, d'un coup, bouleverser l'intégralité de leurs univers.
Le silence aurait pu demeurer encore longtemps jusqu'à ce que la surnommée Amy regarde le préfet de Serpentard dans les yeux et qu'elle se décide à parler. Elle sentit qu'il avait changer, un peu, et que les modifications n'étaient pas que physique.

- Bonjour Clark. Dit-elle d'une voix prudente, d'un ton égal.

Elle n'ajouta rien, reportant son attention sur une nouvelle page de son carnet. Elle saisi un crayon qui glissa de sa main quand elle entendit que Jason lui retourner la politesse.

Dans quoi venait t-elle encore de s'embarquer ?

Tiens, mais que faisait-elle là ? Les Gryffondors allaient s'amuser dehors d'habitude, elle le regardait comme si de rien était mais personne ne fit rien, on avait l'impression que quelqu'un avait jeté le maléfice du saucisson mais non il n'y avait rien, et puis Jason se demanda si elle penserait qu'il était comme avant si elle le prenait pour un imbécile qui ne fait que se venter mais non elle ne fit rien, ils étaient préfets maintenant et ils n'allaient pas se battre pour rien non-plus ! Et finalement elle luit dit "Bonjour Clark.", il ne répondit pas tout de suite. Il la regarda et se dit que de toute façon il n'y avait rien d'autre à faire et qu'il fallait passer à autre chose et c'est pourquoi il répondit "Salut." mais en murmurant, il ne savait pas quoi faire et ferma son livre puis le rangea dans son sac, il avait l'intention d'aller le renger dans l'étagère qu'il avait lui même faite dans la chambre des secret, oui maintenant la chambre et les tuyaux qui y était, étaient propre, il était fière de son travaille mais il savait que dans deux ans environ, il quitterait l'école mais revenons à nos affaires, Jason tira une chaise et s'assit en face de Kimbers et sortit un parchemin et une plume qu'il posa dessus, la plume resta en équilibre sur la pointe. Il remarqua à peine son serpent qui lui serrait le bras avec force et qui lui sifflait en fourchelangue "Pourquoi lui parles-tu ? C'est une ennemie ! Elle ne mérite pas ta présence.".

Améthiste se baissa pour ramasser son crayon. Quand elle entendit le bruit d'une chaise que l'on tirer et Jason s'asseoir face à elle, elle se cogna la tête sur un coin de la table en voulant se relever au plus vite.

Elle se redressa, croisa le regard du garçon et reporta son attention sur sa page blanche.
Pourquoi donc le Serpentard, s'était-il assis en face d'elle. La jeune fille jugea que dans la mesure ou ils ne se battaient pas, il n'y avait aucuns inconvénient à partager une table. Non ?

Des sifflements parvinrent aux oreilles délicates de la Gryffondor qui s'abstint de tout commentaire parfaitement au courant que Jason était un fourchelangue.

En dehors des cris que faisait entendre le serpent du garçon, le silence perdurait.
Ca n'avait rien de certains silences gênants ou oppressants qu'avaient connue Améthiste. Chacun respectait le silence de l'autre.

Fermant les yeux, elle laissa sa main vagabonder sur la feuille. Elle sentait qu'un dessin commencait à prendre forme sous ses doigts, mais elle ne s'en préoccupa pas plus que celà.
Elle était habituer à découvrir après coup ce qu'elle avait dessinée.

Quand ses prunelles rencontrèrent à nouveau la lumière, elle put remarquer que Jason l'observait avec une certaine curiosité. Il avait sur le visage une expression un peu frustré comme s'il cherchait à comprendre quelque chose mais qu'il bloquait sur l'essentiel.

La surnommée Amy pencha la tête et demanda à mi voix :

- Quelque chose ne va pas ?

Après avoir un silence continu, Amy lui demanda ce qui n'allait pas et Jason ne répondit pas tout de suite, il n'avait pas l'habitude de parler amicalement, il faut dire aussi que les seuls amis qu'il avait eu c'était son serpent et un Gryffondor qu'il n'avait vu qu'une fois, d'ailleurs il se demanda s'il n'était pas malade ou qu'il n'avait pas eu un problème, c'était une situation plutôt étrange de se trouver là alors qu'à leurs dernière rencontre ils se soient battus, et tandis que maintenant, il discutait.

- Non, il n'y a rien.

Ses problèmes restait ses problèmes, les siens, et il ne voulait pas en parler, ou peut-être qu'il voulait mais il ne voulait pas tout lâcher d'un coup, c'est comme dans une histoire, le dénouement se fait à la fin et non au début. Il finit par dire à son serpent en fourchelangue "Vois-tu, il y a bien des choses que tu ne peux comprendre" puis il prit sont serpent à deux mains et le posa par terre à côté de lui "vas te balader s'il te plait" puis son serpent le regarda un moment comme fâché et partis.

Jason sortit d'un coup sa baguette magique en se relevant et l'aire de mauvaise humeur en pointant sa baguette sur Amy mais il se rassit et rangea sa baguette dans sa poche. Il changea d'expression, une qui ne voulait rien dire et ne laissait rien passer, on ne pouvais pas savoi9r s'il s'était calmé ou était encore énervé.

- Je suis désolé, finit-il par dire.

Il joint ses mains et fit tourner ses pousses qu'il regarda avec intérêt.